Jusqu'au bout, agir pour la dignité…
(…) Stéphane Hessel fut un homme lumineux jusqu'au bout. Comme Václav Havel qu'il aimait beaucoup, il voulait jusqu'au bout « contempler le miracle de l'être ».
Jusqu'au bout, agir pour la dignité de l'Homme et de la Femme. Jusqu'au bout, alors que ses forces le quittaient, il aura porté cette volonté d'agir ensemble pour la justice, pour la dignité de l'homme et de la femme dans ce qu'elle a de très concret et de très matériel.
Mais jusqu'au bout, il aura porté aussi ce qu'il y a d'immatériel, de léger, d'inaliénable en chacune et chacun de nous. (…) À nous maintenant de reprendre le flambeau. En gardant la même intransigeance sur le fond et la même humanité dans le dialogue.
(…) Stéphane Hessel fut un homme lumineux jusqu'au bout. Comme Václav Havel qu'il aimait beaucoup, il voulait jusqu'au bout « contempler le miracle de l'être ».
Jusqu'au bout, agir pour la dignité de l'Homme et de la Femme. Jusqu'au bout, alors que ses forces le quittaient, il aura porté cette volonté d'agir ensemble pour la justice, pour la dignité de l'homme et de la femme dans ce qu'elle a de très concret et de très matériel.
Mais jusqu'au bout, il aura porté aussi ce qu'il y a d'immatériel, de léger, d'inaliénable en chacune et chacun de nous. (…) À nous maintenant de reprendre le flambeau. En gardant la même intransigeance sur le fond et la même humanité dans le dialogue.
Extrait de la lettre de Pierre Larrouturou
Peu de temps avant la mort de Stéphane Hessel, nous avons écouté à la radio, avec un vif intérêt, l'interview de Patrick Viveret au sujet de son ouvrage La cause humaine paru quelques mois auparavant et préfacé par Edgar Morin.
Il nous semble intéressant de faire le lien entre les injustices dénoncées par Stéphane Hessel et les pistes proposées par Patrick Viveret. Comme une suite concrète à son fameux Indignez-vous ! Une autre mondialisation est possible :
« (…) il existe une autre approche de la mondialité centrée sur la conscience de cette communauté de destin qui lie l'humanité pour le pire mais aussi pour le meilleur (…) Alors, la seule cause qui vaille, la seule qui ne soit pas destructrice ou justificatrice de crimes, de domination, ou d'exploitation d'autres humains, c'est la cause de l'humanité, ce nouvel horizon de toute politique d'avenir digne de ce nom… »
Extrait de la quatrième de couverture
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