(…) Le paysage qu'ils avaient sous les yeux était d'une incroyable
beauté sauvage. Truman regardait tout autour de lui et ne voyait,
partout, que les cous et les épaules de montagnes dénudées
dressées dans la lumière de l'après-midi. Leurs cimes,
couronnées de neige, captaient et se renvoyaient mutuellement
les rayons de la lumière, milliers d'éclairs de diamants…
Lawrence Durrell
Cefalû
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RépondreSupprimerFlûte ! Nous allons encore nous râter... je suis à Poitiers la semaine prochaine.
RépondreSupprimerChouette ! Nous allons encore voyager par procuration !
A bientôt
Catherine LAPEROUSE